Type création : <span>Mise en scène</span>

Résumé : Cette histoire commence de nulle part pour arriver au coeur du monde ; notre personnage est insignifiant et va devenir une héroïne ; vous allez frissoner, frémir, vibrer comme aux temps anciens, autour d’un feu, le feu de ma parole qui vient vous raconter l’incroyable histoire de Eulalie Kpadé devenue Mme paradji…

Résumé : é un resto essenziale che sviluppa un dialogo duro e profondo tra due donne (la madre-matrigna e la figlia adottiva) e che affronta in modo originale la tematica della dchiavitù, toccando dei livelli di grande valore artistico.
La lingua è veramente nuova e, malgrado il titolo che riconduce immediatamente a Victor Hugo, essa trova un suo percorso traducendo secondo ritmi quasi magici, un universo inconfessato di passioni e sentimenti. Il non detto, che sembra l’incipit della piece, insinua lentamente nelle parole una forza innovativa e rivoluzionria, scatenando una sorta di processo di liberazione interiore da parte della vittima ma soprattutto nell’aguzzino, che diventa a sua volta agnello sacrificale dell’esistenza sconvolta dalla guerra. (Cetty Rizzo)

Résumé : Christine est assise sur un banc, dans un parc municipal, en fin d’après-midi. A côté d’elle son landau où dort sa petite fille. Elle s’assoupit quelques secondes. A son réveil, sa fille a disparu. Il y a à côté d’elle, sur un autre banc, Nicole qui n’aime pas les enfants. Il y a sur un troisième banc, Martine, assise, avec devant elle son landau où dort son petit garçon qu’il ne faut pas réveiller. Elles n’ont rien vu. Elles n’ont rien entendu. Christine ne les croit pas. Elle va les contraindre à retrouver sa fille dans leurs souvenirs, dans leurs mémoires, dans leurs désirs maternels.

Résumé : Nico et Léo se retrouvent face à Clive et Bonie. Les uns se préparent à cambrioler une maison, les autres veulent en dérober ses sentiments, son intimité. Mais qui sont-ils exactement ? Frère ou soeur ? marie ou femme ? cambrioleurs professionnels ou voleurs de vie et d’émotions ?… Les cartes sont mélangées et les pistes brouillées sur cet échiquier où la situation bascule constamment.

Résumé : On se souvient de la parabole dite « du fils prodigue ». Un homme avait deux fils, dont le plus jeune a demandé à son père sa part d’héritage et dissipe « son bien en vivant dans la débauche » avant de revenir contrit vers son père qui lui pardonne. On se souvient moins de la révolte de l’ainé qui refuse de participer aux réjouissances : « Voici, il ya tant d’années que je te sers sans avoir jamais contrevenu à ton commandement, et tu ne mas jamais donné un chevreau pour me réjouir avec mes amis. »
José Pliya reprend la parabole au moment du retour du cadet; Saint Luc est le seul Evangéliste à raconter cette parabole, José Pliya s’en inspire pour y apporter une autre fin.

Résumé : La guerre. La Mère recueille Vido qui fuit le génocide. Pour se rendre utile, Vido devient fille de maison, femme de ménage, bonne à tout faire. Un froid matin d’hiver, Vido choisit de s’en aller. Contre toute logique, contre tout bon sens. La Mère, atteinte du « complexe de Thénardier » décide de l’en empêcher. Coûte que coûte…