Archives : <span>Créations</span>

Résumé :
Nico et Léo se retrouvent face à Clive et Bonie. Les uns se préparent à cambrioler une maison, les autres veulent en dérober ses sentiments, son intimité. Mais qui sont-ils exactement ? Frère ou soeur ? marie ou femme ? cambrioleurs professionnels ou voleurs de vie et d’émotions ?… Les cartes sont mélangées et les pistes brouillées sur cet échiquier où la situation bascule constamment.

Résumé :
Au départ, une envie : évoquer un épisode méconnu de la Seconde Guerre mondiale, la présence des Noirs dans les camps de la mort.
En second lieu, une opportunité : le quotidien communiste l’Humanité passe, à l’occasion de ses cent ans, une commande de courtes pièces sur un fait marquant entre 1904 et 2004. Ainsi naissent les six premières lettres.

Résumé :
Opus 1 : Le Bout de la langue de Camille Laurens
Une femme dans sa baignoire. Elle monologue – ou plutôt elle dialogue avec un interlocuteur muet : le voisin du dessus, dont elle est persuadée qu’il la « matte » à travers une fente du plancher. Elle développe récits et incises, tantôt provocatrice, tantôt mutine, jouant sur la langue, ses registres, ses multiples sens, créant ainsi un érotisme lié à cette langue même.

Résumé : La guerre. La Mère recueille Vido qui fuit le génocide. Pour se rendre utile, Vido devient fille de maison, femme de ménage, bonne à tout faire. Un froid matin d’hiver, Vido choisit de s’en aller. Contre toute logique, contre tout bon sens. La Mère, atteinte du « complexe de Thénardier » décide de l’en empêcher. Coûte que coûte…

Résumé :
AMOUR :Haïti, l’entre-deux guerres. Les trois soeurs Clamont, aristocrates décadentes, vivent dans leur grade demeure avec leurs souvenirs. Il y a Annette, la petite dernière, si belle ; il y a Félicia qui a épousé Jean Luze, le beau français ; il y a Claire l’aînée, la vieille fille, la « mal sortie » qui nous raconte tout : ses frustrations, sa maison aux mille intrigues, son pays en déréliction et son amour fou pour un homme, un amour insurrectionnel.

Résumé : 1939 – 1945. La famille Abraham est une famille allemande, originaire de Hambourg, une famille luthérienne de la petite bourgeoisie. Une famille ordinaire. Il a Oskar le père, à la retraite; il y a sa femme Elga, la bonne cuisinière; il y a leur fils Julius et sa femme Dörra, si belle, si amoureuse. Il y a leur fille Véra qui nous raconte l’histoire de sa famille. C’est une famille « normale », avec ses petites joies, ses petits secrets, ses petites frustrastions et ses petits voisins avec qui on vit en bonne entente sans problème. La famille Abraham va traverser la guerre, de façon ordinaire : petites peurs, petits espoirs, petites délations, petit héroïsme, petits massacres.