Résumé : Le petit Poucet est rentré de ses glorieuses aventures, puis il a disparu. C’est son père, Guillaume le bûcheron, qui le prétend. Alors, avant de partir à sa recherche, il nous parle de son propre père, célèbre bûcheron, de sa femme, ancienne bûcheronne, de ses fils, futurs bûcherons, et de son septième fils, le Pou, qui lui, ne sera jamais bûcheron…
Mon Petit Pou……….c’est ………..vous ? cet autre qui est en vous, Non ?
Étonnamment plus que la culpabilité d’un père, j’ai entendu la voix d’un petit garçon qui n’en finit pas de faire des choses plus incroyables les unes que les autres et qui n’arrive pas à être reconnu par son père…Pourquoi ? sans doute pas par sa taille, ce serait trop simple…mais quoi ? que s’est -il passé de si important pour lui qu’il ait été aveugle, qu’il n’ait su être père et transmettre le mode d’emploi pour être un « bon père » ailleurs que sur les mots qui l’affirment ?
J’ai aimé la pièce
l’ écriture exubérante de synonymes pas toujours syno…
la performance d’acteurs
et surtout ce décor sobre au premier abord, lisse et trop rectangle qui m’a plongé dans un tableau d’ Hopper et ses solitudes de l’âme
et qui s’ étiole de mille façons, de mille symboles, de mille ouvertures, de trouvailles, de références..; »quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle »
Merci pour cette matinée inattendue
Aniza